Les pages renvoient à la première édition de la Chronique en deux volumes (mise en ligne au format pdf sur le site)
Introduction
1. Une longue tradition de dévotion mariale : « Notre-Dame de Piétat, Notre-Dame de Héas, Notre-Dame de Poueylaün, Notre-Dame de Garaison, puissant quadrilatère… » des
«… préfaces de Lourdes … »................................................................................................... 15
2. Origines légendaires de Notre-Dame de Poueylaün
- La légende de la statue lumineuse de la Vierge......................................................... 19
- La légende des deux colombes se posant, l’une à Héas, l’autre à Poueylaün........... 21
3. De « Collauna » à « Poueylaün » : apports de la toponymie............................................... 25
Chapitre I. Poueylaün : un oratoire consacré à Notre-Dame et un
« hospitalet », dès le Moyen Âge
I.1. Avant 1449. La position du site, dernier avant-poste habité avant le passage en Espagne par la vallée du Tech et le col de La Peyre Saint-Martin, laisse à penser qu’existait à cet endroit, dès le Moyen Âge, un « hôpital », vraisemblablement accolé à un oratoire, où marchands, bergers, pèlerins allant à Saint-Jacques, ou en Espagne pour leur négoce, pouvaient se réfugier, recevoir des secours matériels et spirituels…............................................................................................................. 29
I.2. 1er novembre 1449. Première mention de « l’œuvre de Notre-Dame de Poueylaün » 34
Chapitre II. De l’oratoire à la « chapelle dorée »
Du 23 juin 1549 au 18 septembre 1781 : plus de 200 ans de destructions et de reconstructions avant l’édification d’un somptueux sanctuaire marial, appelé « capère daourade / chapelle dorée ».
II.1. De nombreux dons (23 juin 1549 ; 2 mars 1550) permettent la construction d’un clocher et d’une voûte en pierre (28 juillet 1549)..................................................................................... 35
II.2. Autres mentions de legs faits à la chapelle (1550-1586)....................................... 37
II.3. Restauration de l’hospitalet détruit pendant les guerres de religion (1591).......... 41
II.4. Nouvelles mentions de legs faits à la chapelle (1604-1607)................................. 43
II.5. Indulgence plénière accordée par le Pape Paul V aux « confrères » et
« confréresses » de la confrérie de Notre-Dame de Poueylaün (5 août 1608)......................... 44
II.6. Autres mentions de legs faits à la chapelle (1611-1634)..................................... 49
II.7. Salvat II d’Yharce (né vers 1576 et mort le 7 octobre 1648), évêque de Tarbes (1602-1648) séjourne à Poueylaün, dans l’hospitalet (1624-1626).................................................... 54
II.8. Réaffirmation des miracles de saint Bertrand de Comminges (1628 : Tableau des Miracles ; 1686 : Installation d’une relique)........................................................................................... 56
II.9. Cérémonie de pacification avec engagement de célébrer, à perpétuité, une messe d’action de grâce dans la chapelle (15 janvier 1636)............................................................................. 59
II.10. Installation d’un nouvel autel à Notre-Dame (aujourd’hui dans l’église de Salles) pour répondre au Vœu pieux de Louis XIII à Notre-Dame pour la France (10 février 1638) et d’un autel à St Joseph à l’usage des membres de sa Confrérie (avant 1653).................................................... 60
II.11. La peste fait des milliers de morts dans la vallée d’Azun et suscite une recrudescence des dons aux sanctuaires des Pyrénées françaises et espagnoles (1653).......... 70
II. 12. Le tremblement de terre de 1660 cause d’importants dégâts. Les legs se succèdent (1661-1680) pour financer la restauration du sanctuaire et la reconstruction d’un clocher (1684) dont l’ingénieur Thierry a envisagé un temps (1688) la transformation en
« donjon » de défense des frontières avec l’Espagne................................................................ 73
II.13. La construction du dôme (1715) et du maître-autel (Marc Ferrère) de la
« chapelle dorée » (Jean-Pierre Lapeyrade) : première période d’embellissement (1693-1735) soutenue par les ventes (1693 ; 1734) et les dons (1695 ; 1733).............................................................. 81
II.14. Erection de l’oratoire Saint-Roch (1753).......................................................... 104
II.15. Institution de la procession allant d’Aucun à Poueylaün, le 1er dimanche après le 31 mai, fête de la Visitation par Pierre III de La Romagère de Roncessy, évêque de Tarbes (entre le 29 août 1751 et le 18 février 1769).............................................................................................................. 107
II.16. La construction des sièges de célébrants, de la chaire, du Crucifix et des confessionnaux par Jean II Ferrère (1718-1795) : seconde période d’embellissement (1766- 1770) soutenue par la vente de l’argenterie (1766).............................................................................................................. 109
II.17. Visite pastorale de Poueylaün (18 septembre 1781) et Enquête des paroisses du diocèse de Tarbes (1783)...................................................................................................................... 118
Chapitre III. Le sanctuaire N.-D. de Poueylaün profané sous la Révolution
Dans la tourmente révolutionnaire, le sanctuaire de Poueylaün est saisi pour devenir caserne ; puis déclaré Bien National ; pillé ; vendu à des particuliers ; restitué à la communauté, et, finalement, racheté par Anne Battoue-Glère d’Arrens.
III.1. Poueylaün dans les premiers temps de la Révolution (5 mai 1789 - 22 septembre 1792) : mise à disposition de la Nation des biens de l’Eglise ; soumission du clergé au Serment à la Constitution (26 novembre 1790) ; déportation des prêtres non assermentés et tentative de conversion de la société civile aux idées révolutionnaires par la création de la Société populaire et montagnarde d’Arrens (1er semestre 1791)........................................................................................................................ 135
III.2. Comment la statue de Notre-Dame échappe à la destruction ? (Octobre- novembre 1792) 142
III.3. Installation d’un casernement à Poueylaün pour la défense des frontières avec l’Espagne (du 6 avril 1793 au 25 octobre 1793)..................................................................................... 143
III.4. Après inventaire (4 janvier 1794), le sanctuaire de Poueylaün est dépouillé de son mobilier, de ses archives, livres, balustrades en fer forgé, objets liturgiques, habits sacerdotaux…etc 145
III.5. À Arrens, les excès de la Terreur gagnent les esprits (juin-juillet 1794) 150
III.6. Le rétablissement progressif de la « liberté du culte » dans le cadre de la
« Constitution civile du clergé » (1794-1795)........................................................................ 152
III.7. Vente de Poueylaün comme Bien National (12 septembre 1795) ; révolte des habitants d’Arrens contre les nouveaux acquéreurs ; rachat du sanctuaire par Anne Battoue- Glère (16 septembre 1797) et revente à son neveu Michel Pome, prêtre (15 mars 1800) 160
III.8. Mise en œuvre du Concordat (15 juillet 1801) et nomination par Mgr Loison des fabriciens de l’église Saint-Pierre d’Arrens (7 novembre 1805)............................................................. 164
Chapitre IV. N.-D. de Poueylaün retrouve son statut de sanctuaire marial : l’action déterminante de femmes et d’hommes illustres, et de Mgr Double, évêque de Tarbes.
Grâce à la visite de la Reine Hortense, le culte est rétabli à Poueylaün. En ce début du XIXème siècle, la mode est aux Pyrénées et la chapelle de Poueylaün, juchée sur son mamelon qui domine la vallée, devient un site emblématique pour les « inventeurs du paysage pyrénéen », une étape incontournable des premiers « touristes, amateurs des Pyrénées et de paysages » et orne, à ce titre, un des quatre angles de la célèbre Carte Vuillemin des Pyrénées. (Voir photo n° 087). D’illustres visiteurs qui la découvrent œuvrent ainsi pour sa sauvegarde et Mgr Double pour qu’elle retrouve son statut de « sanctuaire » marial.
IV.1. Visite de la Reine Hortense (Juillet 1807) ; rétablissement du culte dans la chapelle de Poueylaün (12 août 1807), dont l’abbé Pome est le propriétaire et le chapelain (1ère messe le 5 mai 1808 ; inventaire le 16 août 1808 ; comptabilité jusqu’en1809)...................................................... 167
IV.2. L’interdit est « jeté » (arrêté de Mgr d’Astros du 19 juin 1822) sur les sanctuaires vendus par la République et restés propriétés individuelles : la chapelle de Poueylaün est fermée au culte (1822-1836), mais continue de recevoir les visites d’illustres personnalités (la duchesse d’Angoulême en 1823, l'officier géodésien Paul-Michel Hossard en 1825, le peintre-graveur Ignace Melling en 1826-30, guidé par Bertrand Barère, ou encore l’architecte Eugène-Emmanuel Viollet-Le-Duc en 1833).... 175
IV.3. Sous l’épiscopat de Mgr Double (1833-1844) et grâce à l’exhortation de la Reine Hortense (1834), Louis-Philippe ratifie la donation par l’abbé Pome de la chapelle de Poueylaün à la fabrique d’Arrens par son Ordonnance du 21 mars 1836 qui érige Poueylaün en « chapelle de secours » 181
IV.4. Le duc de Nemours (juin-juillet 1839), le prince de Joinville (août 1843) et la population soutiennent Mgr Double, évêque de Tarbes, dans son projet de restauration de la chapelle (toiture, porche, etc.) 186
Chapitre V. La « Maison de Poueylaün » : l’œuvre de Mgr Laurence et des Pères de Garaison, Missionnaires de l’Immaculée Conception.
Poueylaün devient une des « Maisons » des Missionnaires de l’Immaculée Conception (MIC ou Pères de Garaison), comme Piétat, Héas, puis Lourdes, toutes rattachées à la maison- mère de Garaison. « Dans vos supplications et vos cantiques, vous mêlerez le nom de Notre- Dame de Lourdes aux noms bénis de Notre-Dame de Garaison, de Poueylaün, de Héas et de Piétat », affirme Mgr Laurence, le 18 janvier 1862, dans son Mandement sur les Apparitions qui avaient eu lieu à la grotte de Massabielle, à Lourdes.
V.1. 1845-1856 : Mgr Laurence, supérieur de la « maison de retraite des prêtres âgés ou infirmes du diocèse de Tarbes », fait l’acquisition de Poueylaün, l’intègre au réseau des sanctuaires marials diocésains et en confie la direction aux Pères de Garaison (Missionnaires de l’Immaculée Conception) pour y créer un Collège.
V.1.1. Mgr Laurence, évêque de Tarbes (1er juin 1845), poursuit la stratégie d’acquisition des sanctuaires marials initiée par Mgr Double (achat de Poueylaün le 10 août 1845, ratifié Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, Président de la République, le 20 février
1850) et institue la « Société des prêtres de Notre-Dame de Garaison » (8 décembre 1848) à qui il les destine..................................................................................................................................... 201
V.1.2. A la veille de la proclamation par Pie IX du dogme de l’Immaculée Conception (8 décembre 1854), Mgr Laurence lance la première campagne de travaux d’extension de l’ancien « hospitalet » de Poueylaün pour y installer un Collège d’enseignement (1853-1856).......... 210
V.2. 1856-1871 : Mgr Laurence confie aux Pères Garaison la direction du sanctuaire et celle d’un Etablissement libre d’instruction secondaire appelé « le collège de Poueylaün » qu’il crée en extension de l’ancien « hospitalet », jusqu’à sa fermeture au profit du collège d’Argelès en 1871.
V.2.1. Arrivée des premiers Pères (17 novembre 1856) et rentrée des premiers élèves au petit Collège (29 novembre 1856)......................................................................................... 219
V.2.2. Ayant obtenu de nouvelles indulgences accordées par le Pape Pie IX pour les pèlerins de Poueylaün (3 avril 1857) et ayant nommé le Père [Pierre-]Jean-Marie Ferrère (1822-1905) comme premier supérieur de la « maison de Poueylaün » des Pères de Garaison (du 11 septembre 1857 jusqu’en 1868), Mgr Laurence redynamise les pèlerinages et les dévotions, en installant de précieuses reliques de Sainte-Anne, de la Colonne de la Flagellation (13 septembre 1857) et de Saint-Roch (novembre 1857) 222
V.2.3. Alors qu’à Lourdes Bernadette est le témoin de dix-huit apparitions de la Vierge Marie (11 février 1858-16 juillet 1858), les Pères de Garaison poursuivent les embellissements du sanctuaire et Mgr Laurence crée pour son diocèse deux Confréries établies à Poueylaün en l’honneur de saint Joseph (19 mars 1858) et sainte Anne (8 décembre 1858). Jeanne Crassus, d’Arcizans-Avant, obtient une guérison en priant dans la chapelle Saint-Roch (18 décembre 1858), puis à la Grotte de Lourdes (17 janvier 1859). Cette même année, l’Empereur Napoléon III et son épouse, Eugénie, font don d’un ostensoir et d’une lampe en bois doré..................................................................... 235
V.2.4. L’extension du Collège (première pierre des nouveaux bâtiments posée le 30 avril 1860) manifeste la prospérité de l’éducation chrétienne, condition du renouvellement du recrutement sacerdotal. En parallèle, les embellissements de la chapelle (bénédiction de la petite cloche le 2 février 1861) et la publication du Manuel de la Confrérie établie à Poeylaün sous le patronage de Sainte Anne (16 décembre 1861) traduisent le rayonnement de ce sanctuaire diocésain (et même au-delà, puisque l’Apôtre de la Corée, saint Louis Beaulieu, vient y prier en août 1861)............................... 254
V.2.5. Après la promulgation par Mgr Laurence du Mandement sur les Apparitions de Lourdes invitant à « mêler le nom de Notre-Dame de Lourdes aux noms bénis de Notre-Dame de Garaison, de Poueylaün, de Héas et de Piétat » (18 janvier 1862), les dons matériels (bibliothèque de l’abbé Tisnès léguée le 5 mars 1866) et les grâces spirituelles se multiplient : la famille d’un collégien apporte, de Rome, une relique de Saint-Joseph (25 avril 1863) et Marie Saint-Frai, au retour d’un pèlerinage à Poueylaün (22 septembre 1863) et à la suite de l’invocation de sainte Anne, reçoit les subsides nécessaires à l’achat de la maison d’accueil de Tarbes qu’elle nommera « Sainte-Anne » en reconnaissance de cette grâce 276
V.2.6. Le développement de la Confrérie de Sainte-Anne (dont on réédite le Manuel le 5 mai 1866) nécessite la restauration de sa chapelle (par Pierre Soutric) et Mgr Laurence bénit une troisième chapelle dite « du Sacré-Cœur » (25 novembre 1866) à l’occasion d’un de ses nombreux séjours… 291
V.2.7. Pendant le supériorat du Père Guillaume Verdier (1867-1871), les Pères de Garaison sont institués en « Congrégation des Prêtres de la Félicitation de Marie Immaculée » par Mgr Laurence (15 septembre 1867), puis élevés au rang d’Institut de Droit Pontifical sous la dénomination de Prêtres de la Félicitation de Marie-Immaculée (22 juillet
1868). A ces nouvelles joyeuses, succèdent deux évènements douloureux : le décès de Mgr Laurence (30 janvier 1870) et la fermeture du Collège de Poueylaün (Septembre 1871)…..303
V.3. 1871-1878 : Le collège laisse place au noviciat et/ou au scolasticat de la Congrégation, en alternance avec les « Maisons » de Piétat, de Garaison, et de Lourdes.
V.3.1. Supériorats des Pères Pierre Carrère (octobre 1871 à mai 1873) et de Joseph Pointis (mai à septembre 1873).
V.3.1.1. Malgré la suppression du Collège, la vie du sanctuaire continue (aménagement des bâtiments pour accueillir les Novices et les Scholastiques de la Congrégation ; achat de terrains, etc.). Mgr Pichenot, en tournée pastorale à Notre-Dame de Poueylaün, les 4 et 5 mai 1872, octroie aux Pères de Garaison la permission de donner la bénédiction du Très Saint Sacrement, en particulier lors des Adorations perpétuelles ; il reprécise tous les usages et règlements de la chapelle 313
V.3.1.2. Dans le même temps, Mgr Pichenot développe l’œuvre de Lourdes par la création de la Confrérie de l’Immaculée Conception (8 décembre 1872) qui sera rapidement élevée par Pie IX en Archiconfrérie (14 février 1873)...................................................................... 319
V.3.2. Supériorat du Père Jean-Marie Cazenave (octobre 1873 à novembre
1878)
V.3.2.1. Le Père Cazenave favorise la venue de missionnaires dans les vallées (mars-avril 1874), installe à Poueylaün les couronnes de la Vierge et peut-être de l’enfant Jésus offertes par « les NEGRES de Louisville » au sanctuaire de Lourdes (1er mai 1874), tandis qu’il poursuit l’aménagement du sanctuaire (mur de clôture, table de communion, etc.) et installe une relique de la Sainte-Croix (18 septembre 1875) pour l’offrir à la vénération des fidèles.......................... 319
V.3.2.2. A la suite du Couronnement de la Vierge de Lourdes (3 juillet 1876), les Missionnaires de l’Immaculée Conception (MIC) voient à leur tour leur Œuvre couronnée par la promulgation du Décret d’approbation définitive de leur Congrégation par le Pape Pie IX, et par l’adoption de leurs « Constitutions » (25 août 1876)............................................................. 322
V.3.2.3. Le Père Cazenave achève la pose des quatre vitraux du chœur de la chapelle (7 juin 1877), fait bénir la cloche Saint-Joseph (5 août 1877) et accueille, le 8 septembre 1877, Mgr Langénieux en visite pastorale à Poueylaün…............................................................... 325
V.4. 1878-1900 : La mise en œuvre des premières lois touchant les Congrégations (loi Goblet ; loi Freycinet) n’entrave pas la suite des travaux d’embellissement du sanctuaire.
V.4.1. Sous le supériorat du Père Jean-Pascal Léberon (décembre 1878 jusqu’au 3 juin 1884)
V.4.1.1. La « maison de Poueylaün » vit au rythme de l’application des nouvelles Constitutions de la Congrégation des MIC (1er Chapitre en juin 1879, 1ère visite canonique les 5-6 février 1881, etc.) 333
V.4.1.2. Agrégation de la Confrérie de Sainte-Anne à l’Archiconfrérie de l’Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie à Lourdes (entre le 11 avril 1882 et le 21 août 1884) 337
V.4.1.3. Malgré un rapport (17 janvier 1883) du sous-préfet d’Argelès, administrateur-séquestre, concluant à la vente des collèges et des sanctuaires [y compris Poueylaün] relevant de la Caisse de retraite des prêtres âgés ou infirmes du diocèse,
le décret du Président Carnot (7 août 1884) est suspendu et les Pères de Garaison peuvent poursuivre leur œuvre et en rendre compte à Mgr Langénieux lors de son passage à Arrens (12-13 mai 1883)................................................................................................................................................ 342
1884 à 1890).
V.4.2. Sous le supériorat du Père Pierre-Marie Lurdos (3 juin
V.4.2.1. Indulgence plénière accordée par le Pape Léon XIII aux
pèlerins allant en pèlerinage à Poueylaün (25 février-30 mars 1885).................................... 345
V.4.2.2. Installation d’une résidence des pères de Garaison et de Lourdes à Rome (3 décembre 1885), dans les « Chambres » de Saint Benoît-Joseph Labre, patron de l’Hospitalité N.-D. de Lourdes, fondée par les MIC le 19 août 1885 : un « avis » se trouvant dans le sanctuaire de Poueylaün indique que des médailles de ce « saint des pèlerins » y sont à disposition avec tous les autres objets de piété 346
V.4.2.3. Dossier d’évaluation de la « Maison de retraite des prêtres âgés et infirmes du diocèse de Tarbes », pour accompagner la vente des immeubles en dépendant, dont Poueylaün (5 mai 1887) 348
V.4.2.4. Loi dite « Loi Freycinet » modifiant les conditions d’organisation du Service militaire (15 juillet 1889) 352
V.4.3. Sous le second supériorat du Père Jean-Marie Cazenave
(1890-1900)
V.4.3.1. Poueylaün redevient noviciat des Pères de Garaison (du 18 juin au 9 novembre 1890) 352
V.4.3.2. « Essaimage » des Missionnaires de l’Immaculée Conception vers Catamarca en Argentine (5 Août 1890 – 5 septembre 1890).......................................... 353
V.4.3.3. « Rafistolage » du maître-autel et des deux chapelles par le Père Justin Pibou (1821-1898) et amélioration du nivellement du sol taillé dans le roc par des carriers de Lourdes (1890-1898) 356
V.4.3.4. Fonte d’une nouvelle cloche dans l’ouverture nord du clocher (1890) 358
V.4.3.5. Remise en peinture des arceaux de la voûte de la nef et des arceaux des deux chapelles latérales, par Louis et Raoul Capdevielle................................... 360
V.4.3.6. Installation, dans la nef, de vitraux évoquant les
Litanies de la Vierge Marie.................................................................................................... 371
V.4.3.7. Pavage du sol du porche d’entrée signé : « E. Guinle, 1894 » 374
V.5. 1900-1903. Les dernières années de la « Maison de Poueylaün » sous le supériorat de Jean Ozon (de 1900 jusqu’au 16 mai 1903)
V.5.1. L’application des dispositions de l’article 18 de la loi du 1er juillet 1901 :
alors que la municipalité d’Arrens souhaite le maintien des Pères de Garaison dans le sanctuaire (20 octobre 1901), le rapport du Préfet relatif à la demande d’autorisation de la Congrégation des MIC (22 septembre 1902) conclut défavorablement. Mgr Schoepfer demande la clémence dans la mise en œuvre de la sécularisation des Pères (24 décembre 1902)................................................................ 375
V.5.2. Notification par le Président du Conseil, Emile Combes, du rejet de la demande d’autorisation de la Congrégation des MIC ; Accusé de réception et Procès-verbal de notification du rejet de la demande (1er et 9 avril 1903)................................................................................. 383
V.5.3. Fermeture de la « maison de Poueylaün » et expulsion des pères Ozon et Bonnier, de la servante et du jardinier en résidence dans leur maison de Poueylaün (16 mai 1903)... 384
V.5.4. Le sanctuaire est de nouveau desservi par le clergé paroissial. Installation des abbés Jean Labeille, curé, et Denis Rodes, vicaire (Juin-Juillet 1903) 385
VOLUME 2
Chapitre VI. Après l’entrée en vigueur de la Loi de Séparation des Eglises et de l’Etat (9 décembre 1905), les prêtres d’Arrens prennent le relais des Pères de Garaison dans le service du Sanctuaire, et le Département peine à créer un centre de soins contre la tuberculose dans les bâtiments congréganistes dont il vient d’être mis en possession.
L’application de la loi de séparation du 9 décembre 1905 entraîne la dislocation de Poueylaün, par son attribution à deux propriétaires distincts : la commune d’Arrens, et le département des Hautes-Pyrénées. Les formalités administratives préalables à l’attribution définitive des biens saisis sont nombreuses, car elles passent par la vérification des titres de propriété des biens immeubles, et surtout l’inventaire des biens mobiliers.
VI.1. L’application de la loi du 9 décembre 1905 aboutit au partage de Poueylaün entre la Commune d’Arrens et le Département des Hautes-Pyrénées
VI.1.1. En application de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat (9 décembre 1905), on procède à la rédaction des « inventaires » (Poueylaün, le 2 août 1906) malgré les protestations du clergé français et les Encycliques du Pape Pie X (« Vehementer nos », le 11 février 1906, et « Gravissimo officii munere », le 10 août 1906).................................................................................................... 399
VI.1.2. Après la mise sous séquestre des biens inventoriés (14 décembre 1906), l’attribution de la propriété de la chapelle Notre-Dame, de l’oratoire Saint-Roch et de leur contenu (27 mai 1910) est décidée en faveur de la Commune d’Arrens…....................................................................... 411
VI.1.3. Après avoir attribué la chapelle à la commune, le préfet des Hautes- Pyrénées donne un avis favorable (27 octobre 1910) à l’attribution de la propriété desbâtiments annexes au Département -ce que confirme le décret du Président de la République, Raymond Poincaré, du 4 juillet 1913-). Jean-Pierre Mathet est nommé « gardien » de la propriété du Département à Arrens (30 octobre 1913)........................ 414
VI.2. La « Grande Guerre ». Le Département est à la recherche d’une nouvelle affectation aux biens qui lui ont été attribués : l’école communale d’Arrens s’y installe provisoirement ; un casernement pour un poste frontière y est déployé ; des travaux sont effectués pour accueillir des réfugiés de la Grande Guerre arrivant d’Evian ; on fait un contrat verbal de location d’une partie des locaux à des particuliers… 418
VI.3. 1920-1926. Aménagement du bâtiment principal pour accueillir un Préventorium pour enfants, géré par le Comité Départemental d’Hygiène Sociale, sous le rectorat (1924- 1926) de l’abbé Isidore Gerbet.
VI.3.1. La loi Honnorat du 7 septembre 1919, imposant la création d’au moins un sanatorium public par département, en vertu des principes nouveaux d’hygiène sociale, le conseiller général Torné propose (3 octobre 1919) de vendre Poueylaün à l’Etat pour y installer un « établissement sanitaire, où seraient recueillis et soignés soit des enfants anormaux ou débiles, soit des soldats tuberculeux victimes de la guerre » 426
VI.3.2. Cession du bâtiment au Comité départemental d’hygiène sociale et de préservation antituberculeux, par bail emphytéotique, pour y créer un préventorium pour enfants malingres, ganglionnaires, pré-tuberculeux (19 mai 1920)..................................................................... 428
VI.3.3. 1er projet de l’architecte tarbais Pierre-Sylvain Saubusse (1874-1958) pour l’aménagement du préventorium départemental (20 octobre 1920)...................................... 429
VI.3.4. Le département examine favorablement l’offre d’achat faite par Mgr Schoepfer, évêque de Tarbes, au Département, des immeubles dits de Garaison, Piétat, Poueylaün, Héas et du jardin du Séminaire. En cinq ans, tous seront rachetés : Garaison le 23 janvier 1923, Héas le 10 septembre 1925 et Piétat le 14 janvier 1926), sauf Poueylaün (18 avril 1921) dont les projets de construction de l’établissement sanitaire étaient trop engagés, comme en témoignent les deux nouveaux projets de Saubusse (14 juin 1921 ; 7 décembre 1921) et le projet de Georges Gassan de création d’un nouveau chemin d’accès (4 mars 1923) ................................................................................................... 434
VI.3.5. Les épreuves de la guerre favorisent la normalisation des rapports entre Eglise et Etat par la création des Associations diocésaines (Encyclique « Maximam Gravissimamque » du 18 janvier 1924). Le Comité d’hygiène départemental connaît des difficultés dans la mise en œuvre de son préventorium (rapport du 4 décembre 1925). Isidore Gerbet fait un court passage à la cure d’Arrens (1924-1926) 441
VI.4. 1926-1936. Le Département transfère le bail du Comité Départemental d’Hygiène à l’Association Générale des Mutilés de Guerre (A.G.M.G.), pour lui confier la transformation du préventorium en sanatorium. De son côté, l’évêque de Tarbes et Lourdes crée un titre de doyen pour le recteur de Poueylaün.
VI.4.1. Cession du bail de Poueylaün en 1926 par le Comité départemental d’hygiène sociale en faveur de l’Association Générale des Mutilés de Guerre...................................... 449
VI.4.2. A l’installation du nouveau curé d’Arrens, l’abbé Pierre Lacoste, une protection de Poueylaün comme monument historique est demandée (30 mai 1926) par la commune, et obtenue l’année suivante (3 novembre 1927)............................................................................................... .. -Id-
VI.4.3. Bénédiction du carillon de Garaison. La plus petite cloche de ce carillon est celle qui évoque la maison des MIC à Poueylaün (26 mars 1931 / 14 juillet 1931).................... 453
VI.4.4. Le Préfet enjoint le président de l’AGMG de procéder à l’ouverture du sanatorium de Poueylaün dans les plus brefs délais (15 juillet 1932) sous peine de résiliation du bail.................... 455
VI.4.5. Fête à Poueylaün présidée par Mgr Pierre Gerlier, évêque de Tarbes et Lourdes, dans le cadre de la tenue du XIème Congrès National de Recrutement Sacerdotal à Lourdes en présence du Cardinal Pacelli qui visite la vallée. L’évêque octroie au curé d’Arrens, à titre définitif, les titres de doyen et de recteur du sanctuaire (15 août 1935)…462
Chapitre VII. Avec l’ouverture du Centre Jean Thébaud (1936) et l’arrivée de Sœurs Franciscaines du Saint-Esprit de Montpellier, Poueylaün retrouve l’œuvre originelle d’accueil des pèlerins et des malades. Cependant, la fermeture des anciens bâtiments du Centre Jean Thébaud (2012), le départ des Sœurs et l’absence de curé-recteur en résidence à Arrens n’interrompent ni le passage des pèlerins et des visiteurs, ni la recherche d’une nouvelle destination pour les bâtiments désaffectés.
VII.1. Le Sanctuaire de Notre-Dame de Poueylaün et le Centre Jean Thébaud : une symbiose réussie.
VII.1.1. Inauguration du Sanatorium Jean Thébaud (28 juin 1936), œuvre des architectes Pierre-Sylvain Saubusse (1874-1958), Louis-Clovis Heckly (1893-1975) et Paul Heff (1894-1960), sous la direction des docteurs Camille et Renée Lebreton, secondés par la communauté des sœurs infirmières Franciscaines du Saint-Esprit de Montpellier et participation, en 1937, à la commémoration de l’Armistice de 1918… 465
VII.1.2. Le Sanatorium Jean Thébaud devient le « sanctuaire de la collapsothérapie » (Dr Lebreton) et développe son Centre de rééducation, reconnu officiellement malgré les troubles de la période de l’Occupation (déraillement du train transportant l’équipe du sana le 19 janvier 1944). A la mort du Père Sarthe (27 décembre 1947), la spiritualité franciscaine s’affirme avec la présence continuelle des Sœurs (qui peuvent célébrer certaines cérémonies à Poueylaün à partir du 19 mars 1948) et l’arrivée du frère Jean-Paul, du couvent des Franciscains de Pau, qui peut compter sur l’appui de l’abbé Jean-Bernard Peyou, vice-doyen d’Arrens (installé en 1938) et du chanoine Antoine Gleyzes qui y effectue de nombreuses cures… 470
VII.1.3. Cette œuvre est couronnée par l’inauguration (25 mai 1953) de la fin des travaux d’extension du sana et de sa nouvelle « salle des fêtes » (1951-1953), réalisation de l’architecte parisien Paul Heff (1894-1960), mais assombrie par le décès du docteur Renée Lebreton, à Arrens (8 août 1953), alors que le sanctuaire bénéficie du legs Gassie (21 janvier 1953) et de son classement au titre des Monuments historiques, « en totalité » (11 septembre 1954), au début du rectorat de l’abbé Gilbert Porchet, curé-doyen d’Arrens (1954).................................................................................................. 494
VII.1.4. De même qu’au Centre Jean Thébaud, l’œuvre médicale (victoire sur le BK), sociale (reconstruction du Centre de rééducation pour la rentrée scolaire 1959) et culturelle (sous la houlette de Paul Bourrieu) s’épanouit, de même l’œuvre spirituelle du Sanctuaire poursuit son essor : les Sœurs Franciscaines bénéficient d’un oratoire dans les bâtiments du Sanatorium (17 novembre 1954) ; elles peuvent compter sur leurs Frères Franciscains du Couvent de Pau, sur l’appui des prêtres en cure et du clergé diocésain (1ères Communions pour la Fête-Dieu), et sur l’action déterminée de l’évêché, en particulier de Mgr Pierre-Marie Théas (épiscopat de 1947 à 1970), qui, avec Mgr Fourpome et le Père André Menvielle, organise une Journée de récollection de l’Hospitalité de Bigorre (11 juillet 1959), dans la dynamique du Centenaire des Apparitions et de la réinstallation à Lourdes des MIC dont les Constitutions ont reçu leur approbation définitive à Rome (22 novembre 1956)…..533
VII.2. La tuberculose ayant été éradiquée, le sanatorium laisse place à une structure médico-éducative (IME) et médico-professionnelle (IMP) pour enfants handicapés (en 1973), et à une Maison d’Accueil Spécialisé pour adultes (MAS) au pied du Sanctuaire qui continue à faire l’objet de restaurations des Monuments Historiques, durant les rectorats des abbés Jean Esquerre (1977-1990) et Pierre Broqué (1990-2003).
VII.2.1. Les deux sections du sanatorium, de soins et de formation, sont transformées en 1973 en Institut Médico-Educatif (I.M.E.) et en Institut Médico-Professionnel (I.M.P.)……………………………………………………………………………………….558
VII.2.2. Installation de l’abbé Jean Esquerre, curé-doyen d’Arrens et recteur du sanctuaire (1977)……………………………………………………………………………..560
VII.2.3. Pétition des membres de la Société Académique des Hautes-Pyrénées visant à obtenir l’abandon d’un projet d’extension du Centre Jean Thébaud (1982) défigurant les abords d’un Monument Historique classé (toujours en cours de restauration)......................................... ..-id-
VII.2.4. Décès du docteur Camille Lebreton à Arrens (16 mars 1983), le
« mayouraou » du Val d’Azun............................................................................................... 561
VII.2.5. Une Maison d’Accueil Spécialisé pour adultes (MAS) est ouverte au pied du sanctuaire (20 janvier 1989), ainsi que de nouvelles structures médico- professionnelles sont implantées dans le village d’Arrens (1991-1996), alors que l’abbé Pierre Broqué est installé curé-doyen d’Arrens et dernier recteur du sanctuaire (1990-2003). Le transfert du bail et des agréments ministériels de l’AGMG à l’Association des Paralysés de France (1er janvier 1999) entraîne la désaffectation progressive des bâtiments de Poueylaün…………………………………………………………………………………….562
VII.2.6. Réinstallation de trois tables de communion, sous la présidence de Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes (15 août 2000)............................................................ 564
VII.2.7. L’étude préalable à une nouvelle campagne de restauration et de mise en valeur du site par Olivier Naviglio, architecte en chef des monuments historiques (3 mai 2001, approbation 27 juin 2005), est restée sans suite...................................................................................................... 565
VII.2.8. Décès de l’abbé Broqué, dernier recteur en titre du Sanctuaire, et création de l’ensemble paroissial du Val d’Azun (2003).......................................................................... 567
VII.3. La fermeture des anciens bâtiments du Centre Jean Thébaud, le départ des Sœurs et l’absence de curé-recteur en résidence à Arrens n’interrompent ni le passage des pèlerins et des visiteurs, ni la recherche d’une nouvelle destination aux bâtiments récemment désaffectés
VII.3.1. Installation du Père Jean-Luc Abadie, prêtre et chapelain en résidence à Lourdes, comme curé du Val d'Azun et de l'Estrem-de-Salles. L’ancienne procession entre Aucun et Poueylaün est recréée pour le 15 août 2010 (Fête de l’Assomption).............................................................. 568
VII.3.2. Départ de la Communauté des Sœurs Franciscaines (9 mai 2012)....-id-
VII.3.3. Pèlerinage lituanien à N.-D. de Poueylaün (septembre 2013)........... 569
VII.3.4. La MAS Jean-François Henry devient la « MAS d’Azun », qui comprend cinq unités de vie. Cette nouvelle configuration entraîne, le 17 décembre 2012, la résiliation du bail concernant les bâtiments situés autour de la chapelle de Poueylaün… 570
VII.3.5. La fermeture définitive des bâtiments situés à Poueylaün, ne met pas fin aux activités du Centre qui se poursuivent dans des bâtiments rénovés, ou nouvellement construits à Arrens-Marsous et à Argelès (28 mars 2014), mais entraîne l’interdiction d’accès au site de Poueylaün (Arrêté du 30 juin 2014) et la mise en vente, par le Conseil Général des Hautes-Pyrénées, des bâtiments libérés par l’APF (4 juillet 2014) 571
VII.3.6. Réalisation d’un inventaire du mobilier de la chapelle de Notre-Dame de Poueylaün par le service diocésain « Archives et Patrimoine » et la Commission diocésaine d’Art Sacré (2 juin 2015) 573
VII.3.7. Alors que le sanctuaire continue d’honorer sa vocation mariale, à la lumière des récents textes pontificaux (11 février 2017), que Mère François du Saint-Esprit, fondatrice des Sœurs Franciscaines de Montpellier, vient d’être déclarée Vénérable (9 octobre 2017), et que la paroisse du Val d’Azun accueille un nouveau curé (octobre 2017), les bâtiments de l’ancien Centre Jean Thébaud, reconnus pour leur qualité architecturale (« Guide d’architecture du XXème siècle en midi toulousain » -octobre 2016-), sont l’objet d’une recherche sur leur nouvelle destination (« Etude de requalification du site » commandée par la Communauté de Communes du Val d’Azun à l’Agence Jean-Pierre Lavaill Conseils - 10 novembre 2016-)……………………………………………………………………………573
ANNEXE I. Ressources documentaires
ANNEXE II. Protections au titre de la loi sur les Monuments Historiques
ANNEXE III. « Notre-Dame de Poeylaün » (Transcription d’un manuscrit inédit du Père Ferrère) ANNEXE IV. Notices biographiques et Tableaux des Personnels des diverses « Maisons » des M.I.C. et Listes diverses : listes des évêques de Tarbes, puis de Tarbes et Lourdes ; liste des curés d’Arrens du XVI ème s. à nos jours ; liste des prêtres des paroisses du val d’Azun aux XVIIIème et XIXème s.
ANNEXE V. Notices nécrologiques ou biographiques de Pères et Frères Missionnaires de l’Immaculée Conception (M.I.C.) et autres ecclésiastiques proches de Poueylaün.
ANNEXE VI. Extraits des Constitutions de la Congrégation des Missionnaires de l’Immaculée Conception.
ANNEXE VII. Notices biographiques sur des membres de la famille Balencie d’Arrens, complétées d’une généalogie simplifiée.
ANNEXE VIII. Table des illustrations.
ANNEXE I. RESSOURCES DOCUMENTAIRES
I.1. Archives manuscrites, imprimées et électroniques…...................................................... 579
I.1.1. Archives départementales des Hautes-Pyrénées (A.D.H.P.).
I.1.2. Archives départementales du Gers.
I.1.3. Archives de la Haute-Garonne.
I.1.4. Archives Nationales.
I.1.5. Archives diocésaines de Tarbes et Lourdes (Fonds de la Congrégation des Missionnaires de l’Immaculée Conception).
I.1.6. Archives documentaires de la Société des Sept Vallées.
I.1.7. Sources électroniques (Archives en ligne ; Gallica, etc.)
I.2. Sources imprimées................................................................................ 583
I.3. Liste des livres provenant des « bibliothèques de Poueylaün »............ 587
ANNEXE II. PROTECTIONS au titre au titre de la loi sur les MONUMENTS HISTORIQUES et DOSSIERS Service de documentation des Monuments Historiques
II.1. Protections au titre de la loi sur les Monuments Historiques
II.1.1. Immeuble.......................................................................................................... 602
Inscription I.S.M.H. par Arrêté du 3 novembre 1927 ; Classement M.H. par Arrêté du 11 septembre 1954.
II.1.2. Objets…....................................................................................................... …-id-
II.1.2.1. Chapelle de Poueylaün
II.1.2.2. Ancien « hospitalet » de Poueylaün : le linteau de la porte d’entrée de l‘ ancien hospitalet, daté 1591, est protégé. Actuellement, il se trouve inclus dans le mur du cimetière de l’église d’Arrens.
II.1.2.3. Chapelle Saint-Roch : la statue de St-Roch est protégée.
II.2. Dossiers du Service de documentation des Monuments Historiques
II.2.1. Médiathèque du Patrimoine : Campagnes de restauration, conduites par les architectes des Monuments Historiques de 1965 à 1998…............................................................. 603
II.2.1.1. Première campagne de restauration (1965-1978). De 1965 à 1972, restauration du porche, des boiseries. De 1972 à 1975, travaux portant sur les enduits de la face sud du clocher ; puis, consolidation et restauration des piliers du porche.
II.2.1.2. Deuxième campagne de 1978 à 1987. Restauration du décor intérieur, devis et rapport concernant la réfection d'un bandeau de schiste en partie haute du clocher et réfection des enduits du rez-de-chaussée.
II.2.1.3. Troisième campagne de 1998. Restauration des couvertures, des vitraux et du plancher de la sacristie.
II.2.1.4. Etude préalable à une nouvelle campagne de restauration et de mise en valeur du site par Olivier Naviglio, architecte en chef des monuments historiques (3 mai 2001)
II.2.2. Documentation française........................................................................ 611
ANNEXE III. « NOTRE-DAME de POEYLAÜN » (Transcription d’un manuscrit inédit du Père Jean- Marie Ferrère)............................................................................................................................................................................................... ..-id-
ANNEXE IV. NOTICES BIOGRAPHIQUES et TABLEAUX DES PERSONNELS DES « MAISONS » des M.I.C. LISTES DIVERSES (listes des évêques de Tarbes, puis de Tarbes et Lourdes ; liste des curés d’Arrens du XVIème s. à nos jours ; liste des prêtres des paroisses du val d’Azun aux XVIIIème et XIXème s.)
IV.1. Les Evêques de Tarbes….................................................................. 616
IV.2. Les Evêques de Tarbes et Lourdes..................................................... 619
IV.3. Notices biographiques des Supérieurs Généraux des M.I.C.
IV.3.1- 1er supérieur général (1850-1882) : R. P. Jean-Louis Peydessus (25 août 1807 à Armenteule – 13 février 1882 à Garaison).................................................................................................... 625
IV.3.2- 2ème Supérieur général (1882-1889) : R. P. Rémi Sempé (1 octobre 1818 à Lamarque – 1 septembre 1889 à Lourdes).................................................................................................... 628
IV.3.3- 3ème Supérieur général (1889-1899) : R. P. Jean-Marie Duboé (1828 à Trébons – 8 juillet 1899 à Lourdes)................................................................................................................................ 631
IV.3.4- 4ème Supérieur général (1899-1910) : R. P. Jean-Baptiste Abadie (21 janvier1850 à Avezac -30 septembre 1921 à Saint-Bertrand-de-Comminges).............................................. 635
IV.3.5- 5ème Supérieur Général (1910-1930) : R. P. Dominique Duthu (2 février 1856 à Capvern – 19 février 1942 à Garaison)..................................................................................................... 637
IV.3.6- 6ème Supérieur général (1930-1948) : R. P. Prosper Pays (7 janvier 1887 à Julos – 14 septembre 1948 à Garaison).................................................................................................... 643
IV.3.7- 7ème Supérieur général (1948-1962) : R. P. Jean-Baptiste Chourry (27 décembre 1903-29 janvier 1989)...................................................................................................................... 646
IV.3.8- 8ème Supérieur général (1962-1985) : R. P. René Point (22 avril 1911 à Lourdes – 4 décembre 2013)...................................................................................................................... 648
IV.3.9- 9ème Supérieur général (1985-1992) (réélection 1998-2005) : R. P. Henri Joulia (23 juin 1925 à Montgiscard – 14 décembre 2005) 649
IV.3.10- 10ème Supérieur général (1992-1998) : R. P. André Baqué (1933-2014)..... 650
IV.3.11- 11ème Supérieur général (1998-2005) : Réélection du R. P. Henri Joulia..... 651
IV.3.12- 12ème Supérieur général (2008-) : R. P. Horacio Brito (né en 1948 à Tucuman, en Argentine)............................................................................................................................................. .. -id-
IV.4. Les Recteurs des sanctuaires de Lourdes, et des Pères et des Frères attachés aux Sanctuaires…..................................................................................... 652
IV.5. Les personnels (supérieurs, directeurs, professeurs, Pères, Frères), et, parfois, les élèves des maisons de Garaison, Poueylaün, Sabart, Piétat, Héas, Tarbes et Rome 654
IV.6. Les curés d’Arrens, recteurs de N.-D. de Poueylaün du XVIème s. à nos jours… 679
IV.7. Les prêtres des paroisses du val d’Azun aux XVIIIème s. et XIXèmes.
ANNEXE V. NOTICES NECROLOGIQUES ou BIOGRAPHIQUES de Pères et Frères Missionnaires de l’Immaculée Conception (M.I.C.) et autres ecclésiastiques proches de Poueylaün.
V.1. Les Pères
V.1.1. Le Révérend Père Jean-Baptiste Abadie (1850-1921).Voir Notices des Supérieurs Généraux des M.I.C. Annexe IV.3.4.
V.1.2. Le R.P. André Baqué (1933-2014).Voir Notices des Supérieurs Généraux des
M.I.C. Annexe IV.1.3.10.
V.1.3. Le Père Prosper Bordedebat (1834-1911)....................................................... 690
V.1.4. Le Père Norbert Burosse (1848-1914)............................................................. 692
V.1.5. Le Père François Caillabère (1842-1915)........................................................ 694
V.1.6. Le Père Pierre Calot (1852-1885).................................................................... 695
V.1.7. Le Père Pascal Carrère (1843-1919)................................................................ 700
V.1.8. Le Père Pierre Carrère (1828-1890)................................................................. 702
V.1.9. Le Père Jean-Marie Cazenave (1831-1914)..................................................... 706
V.1.10. Le R.P. Jean-Baptiste Chourry (1903-1989).Voir Notices des Supérieurs Généraux des M.I.C. Annexe IV.3.7.
V.1.11. Le R.P.Jean-Marie Duboé (1828-1899).Voir Notices des Supérieurs Généraux des M.I.C. Annexe IV.3.3.
V.1.12. Le R.P. Dominique Duthu (1856-1942).Voir Notices des Supérieurs Généraux des M.I.C. Annexe IV.3.5.
V.1.13. Le Père François Duthu (1849-1936)........................................................... 709
V.1.14. Mgr Joseph Eckert (1865-1943) et sa famille............................................... 710
V.1.15. Le Père Jean-Marie Ambroise Faulon (1823-1896)...................................... 712
V.1.16. Le Père Claude Faure (1828-1898)............................................................... 714
V.1.17. Le Père Pierre Jean Marie Ferrère (1822-1905)............................................ 715
V.1.18. Le Père Jean-Bernard-Louis Fouran (1812-1888)......................................... 717
V.1.19. Le R.P. Henri Joulia (1925-2005).Voir Notices des Supérieurs Généraux des MIC. Annexe IV.3.9. et Annexe IV.3.11.
V.1.20. Le Père Jean-François Marie Lahaille (1836-1914).Voir Notices des Supérieurs de la maison de retraite pour les Prêtres du Diocèse à N.-D. de Garaison, Annexe IV.5.1.1.
V.1.21. Le Père Antoine Larrouy (1873-1935)........................................................... 720
V.1.22. Le Père Pierre Laurence (1805-1866).Voir Notices des Supérieurs de la maison de retraite pour les Prêtres du Diocèse à N.-D. de Garaison, Annexe IV.5.1.1.
V.1.23. Le Père Jean-Pascal Léberon (1819-1896)............................................... ….-id-
V.1.24. Le Père Pierre Lurdos (1832-1918)................................................................ 723
V.1.25. Le Père Dominique Miègeville (1814-1901)............................................ … .-id-
V.1.26. Le Père Alphonse Miqueu (1847-1900)........................................................ 724
V.1.27. Le Père Jean Ozon (1843-1924).................................................................... 726
V.1.28. Le R.P. Prosper Pays (1887-1948).Voir Notices des Supérieurs Généraux des
M.I.C. Annexe IV.3.4.
V.1.29. Le R.P. Jean-Louis Peydessus (1807-1882).Voir Notices des Supérieurs Généraux des M.I.C. Annexe IV.3.1.
V.1.30. Le Père Nicolas-Justin Pibou (1821-1898).................................................... 727
V.1.31. Le R.P. René Point (1911-2013).Voir Notices des Supérieurs Généraux des
M.I.C. Annexe IV.3.8.
V.1.32. Le Père Joseph Pointis (1841-1925).............................................................. 729
V.1.33. Le Père Denis Rodes (1877-1934)................................................................. 730
V.1.34. Le Père Pierre Sarthe (1917-1947)................................................................ 734
V.1.35. Le R.P. Rémi Sempé (1818-1889).Voir Notices des Supérieurs Généraux des
M.I.C. Annexe IV.3.2.
V.1.36. Le Père Jean-Baptiste Senderens (1856-1937)............................................. 737
V.2. Les frères
V.2.1. Frère Guillaume Gotarda (1863-1948)............................................................. 744
V.2.2. Frère Jacques Hourcadet……………………………………………………747
V.2.3. In memoriam................................................................................................. -id-
ANNEXE VI. Extraits des CONSTITUTIONS de la Congrégation des Missionnaires de l’Immaculée Conception................................................................................................................................................................................................. 748
ANNEXE VII. NOTICES BIOGRAPHIQUES sur des membres de la famille Balencie d’Arrens, complétées d’une généalogie simplifiée.............................................................................................................................................. 761
VII.1. Pierre Balencie (1779-1857)
VII.2. [Jean-] Pierre Balencie (1810-1858)
VII.3. Antoine Balencie (1792- ?)
VII.4. [Jean-] Baptiste Balencie (1822-1900)
ANNEXE VIII. TABLE DES ILLUSTRATIONS …………………………………………………………764
........................................
SUPPLÉMENTS à la première édition de la Chronique (décembre 2017) :
2018 :